08/23/2007

Et maintenant jouons

Author: Romain Dehaudt, Head of Revenue & Operations

La guerre des moteurs de personnes continue et s’étend. Voilà donc Twitter qui s’y colle. Déjà que je twitte peu et que ça n’empêche pas des tas d’inconnus de vouloir devenir mon ami, ça ne va pas s’arranger. Parmi eux, je trouve qu’il y a de plus en plus de parasites qui déversent leur spam. Ce n’est pas anodin car sur Twitter, ceux qui vous suivent sont d’une certaine façon une part de votre identité. Comme à la maison, un ménage régulier s’impose.
Dans Facebook, c’est du déluge des invitations à des groupes à insérer de nouvelles applis qu’il s’agit. Clairement, l’écosystème Facebook est très fertile, ça widgetise tant qu’à bon compte. C’est ludique et sympa, mais ça rend aussi vite sa page obèse. De l’inflation des instruments de socialisation dans les réseaux sociaux, une autre forme de sociobésité, à moins qu’il ne s’agisse en fait que d’une autre forme de jeu. Et après tout la vraie question c’est de nouveaux amis, pour quoi faire sinon s’inventer de nouveaux jeux et les promouvoir. La comparaison entre Facebook et SecondLife n’est pas fortuite. Patience, la convergence arrive.

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