Je n’aimerais pas vivre trois mètres sous terre

Durant l’automne 2000, une équipe de scientifiques a déplacé une rangée de sièges d’un wagon du Métro de la ligne Centrale pour effectuer une analyse de propreté.

Malgré les protestations des responsables du Métro de Paris, affirmant que l’intérieur des trains est d’une propreté tout à fait normale, les scientifiques ont fait des découvertes alarmantes.
L’analyse ayant été poussée jusqu’aux plus petits détails. Voila ce qui avait été trouvé à la surface des sièges :

 4 sortes différentes de poils : d’humain, de souris, de rat et de chien

 7 espèces différentes d’insectes, dont la grande majorité était des puces, et dont la plupart étaient vivantes
– du vomi provenant d’au moins 9 personnes différentes
– de l’urine humaine provenant d’au moins 4 personnes différentes
– de l’excrément humain
– de l’excrément de rongeur
– du sperme humain

Lorsque les sièges ont été déplacés, ils ont aussi trouvé :
– les restes de 6 souris
– les restes de 2 gros rats
– un type de moisissure/champignon inconnu analysé par les scientifiques du CNRS.

Il a été estimé qu’en tenant un des accoudoirs, vous transférez à votre corps, les huiles
naturelles et ainsi que la transpiration d’environ 400 personnes différentes.

Il a été estimé qu’il est généralement moins toxique de fumer 5 cigarettes par jour que de
voyager durant une heure dans le Métro Parisien (50 toxicités différentes). Il est beaucoup
plus hygiénique de se laver les mains à l’intérieur d’une cuvette de toilette tirée avant de
manger que de s’essuyer les mains sur un des sièges du métro avant de manger (170
compositions bactériologiques et organiques)

Il a été estimé que, dans Paris, il y a plus d’arrêts de travail pris à cause de germes attrapés
durant un transport dans le métro que pour quelques autres raisons (y compris l’alcool).