LA DADVSI bouge encore
Pendant que le reste du monde (culturel) prend acte que les DRM, c’est mal, et que d’autres modèles sont possibles, le Ministère de la Culture reste dans sa faille spatio-temporelle, celle qu’il a créé l’année dernière en punissant la Société de l’Information et en signifiant que l’économie française du logiciel et de la technologie pouvait passer par pertes et profits.
Comme on le dit, les paroles s’envolent et les écrits restent. Alors que le Ministère prétend [tout faire pour] défendre le logiciel libre, il n’en publie pas moins, dans un décret publié fin avril, des dispositions qui punissent la simple détention de lecteurs open-source largement présents sur les postes configurés sous OS libres et accessoirement fait barrage au développement d’outils permettant d’envisager l’interopérabilité des DRM qu’il prône lui-même. À force de vouloir dire tout et son contraire cela devient incohérent.
Cela n’a pas échapé à l’APRIL et à l’heure où les candidats font assaut de bonnes intentions vis-à-vis du logiciel libre avec en arrière plan les vertus thérapeutiques qu’on lui prête pour le budget de l’Etat, tout cela ne manque pas de sel.
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